Avoir des bonnes idées c’est bien, les créer c’est explosivement mieux !

Ze Challenge : 100 jours pour créer mon premier concept de peinture.  Trop souvent, les choses essentielles sont reportées et c’est un crime! Il n’appartient qu’à nous de mettre la main à la pâte et faire un peu de place pour nos projets.

J’ai eu une belle idée de concept de peinture et j’aimerais ardemment qu’elle se concrétise. En 100 jours, ça c’est le challenge.

Les freins

La créativité fait partie de mon éducation familiale, on pourrait donc supposer que je pars avantageuse ! Mais laissez-moi d’abord vous faire part de mes deux plus gros handicaps :

• La petite phrase « Tu n’y arriveras jamais, c’est trop difficile ». Paf, voilà, c’est exactement ça, « je n’y arriverai pas ». La vie ne fait que trop rarement des cadeaux que pour supposer une quelconque réussite « facile ».
• Mon éducation « scolaire » : pour réussir, il faut un beau diplôme, un travail de salarié pour gagner de l’argent pour s’acheter une maison et se marier.

Pourquoi je considère ces deux croyances comme des freins à ma créativité ?

Avec la phrase « je n’y arriverai pas, c’est trop difficile », je me suis infligée une peur de l’échec colossale. Je me mettais beaucoup de pression inutile dans tout ce que j’entreprenais et avec l’impression « de ne pas en faire assez ». Toute mon énergie est partie dans les choses « nécessaires de la vie » sans laisser de place à ce qui me fait réellement vibrer.

Avec le bourrage de cerveau du fameux « Métro-Boulot-Dodo », dès que je sortais un peu des sentiers battus, je me sentais jugée, critiquée, rejetée et j’en avais très peur. Je n’arrivais pas à me lancer sérieusement car la créativité « ne fait pas partie des choses sérieuses ». Bref, je n’étais pas à ma place et je ne l’assumais pas.

Les moteurs

A 26 ans, je peux dire que j’ai eu quelques réussites : j’ai terminé brillamment mes études universitaires, j’ai voyagé 6 mois en Inde, je suis polyglotte, j’ai eu des dizaines de petits jobs où j’ai appris plein de choses…

… Mais surtout : j’ai appris à me respecter, à aimer mes proches, à cultiver des relations saines, à observer la nature, à suivre mon intuition, à gratifier et honorer chacune de mes journées, à me recentrer sur l’essentiel.

Et ça, c’est le plus beau cadeau du monde !

Les bénéfices

Le challenge « 100 jours, 10 toiles » s’accompagne avec la naissance du blog. Pour moi, c’est un véritable challenge de mêler les deux, en plus de mon travail sur le côté !

Les bénéfices que je pense pouvoir tirer sont avant tout, la satisfaction de faire quelque chose qui me plaît profondément. J’ai très envie « d’honorer ma place » en concrétisant ce rêve enfui depuis longtemps.

Le fait de me dire « GO, on se lance » me fait énormément de bien, t’en pis pour la peur de l’échec et t’en pis pour les grimaces des poissons dans la nasse* !

Et vous? Un challenge?

Un projet que vous gardez au fond du tiroir depuis longtemps? C’est le moment de le partager (notamment dans les commentaires 🙂 ) et de s’y mettre! J’espère vous y motiver avec cet article et les prochains 

*Il est libre Max – Hervé Christiani

   Merci d'avoir lu cet article!

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